Après un long moment d’inactivité, me revoilà avec un article apportant quelques astuces découvertes depuis mon utilisation intensive de Kubernetes en production dans mon entreprise et à mes recherches sur le sujet.
Après un long moment d’inactivité, me revoilà avec un article apportant quelques astuces découvertes depuis mon utilisation intensive de Kubernetes en production dans mon entreprise et à mes recherches sur le sujet.
Dans cet article, nous allons monter un cluster Kubernetes pas à pas en installant et configurant chacun des composants, sans passer par un cloud-provider all-in-one (comme GKE ou AWS) ou par un script d’installation (kube-aws, kops ou autre). Cela permet entre autres de se plonger dans le fonctionnement de chaque ressource de Kubernetes pour mieux comprendre ses mécanismes.
Utiliser des containers Docker à la volée est relativement simple, avec un docker run on lance simplement notre application, mais parfois, les managers tels quels peut vite s’avérer compliqué et difficile à suivre. Pour simplifier le lancement et la gestion de containers Docker, on peut simplement utiliser des unités systemd.
La version 1.12 de Docker est sortie en release candidate depuis quelques jours. Parmi les nouveautés, l’intégration de Docker-Swarm directement dans l’Engine ce qui permet entre autre le déploiement d’un cluster Swarm beaucoup plus simplement qu’avant. Je vais donc vous montrer cela dans cet article.
Dans la grande guerre des orchestrateurs de containers, Kubernetes, solution créée par Google, propose des fonctionnalités très intéressantes. Ça fait un moment que je voulais tester, mais je n’en avais pas encore eu l’occasion. J’ai donc profité de l’offre de Google Cloud Engine pour sauter le pas (deux mois gratuits).